I realized I had no idea what to expect from France in October a few days before getting ready for the trip.
I mean, I did spend 18 fall seasons in Nantes but it was a long, long time ago.
I left France in the summer of 2001, right after graduating from high school. Between 2001 and 2005, I was either travelling or living in Canada. But because I was also completing a degree in Chinese language, I was travelling to France in June or September to take the finals.
The last time I was in France in October was in 2005. It was a busy and productive fall—I took a last exam in classical Chinese, graduated from university, and a few weeks later I got the news that my permanent resident application in Canada was accepted.
I hope this fall will be as successful—no university degree or immigration process this time, but a series of small chores, including picking up Mark’s French ID and mine.
I’ve been in France for a week now and I can tell you that…
It rains in Nantes
Much like the rest of Brittany, Nantes is a rainy city. The weather is actually surprisingly mild, around 17°C, but it rains at least several times a day… or constantly.
People in Nantes don’t give a damn about the rain
Locals are so used to rainy weather and getting soaked that nobody gives a damn. It’s business as usual.
“What should we do? It’s raining!!!” isn’t a question that comes up much around here. Yeah, it’s raining. Staying indoors or taking shelter until it stops would be like staying home through winter in Canada.
My entire family has no problem going ou for a walk when it rains. In fact, outdoor seating is still a thing in October and it’s common to see people eating or drinking in the rain.
French people are overdressed for the weather
I’m the kind of person who starts shivering when the temperature drops below 20°C—and yet I ended up in Canada!—but I do find the French are way overdressed for the weather.
I watched the French news a few days in a row before the trip and I assumed it was cold because people were already wearing puffy jackets, hats, scarves, sweaters, etc.
Nope, it’s just the fall look, apparently. Canadians are still wearing shorts when it’s in the upper teens!
It’s mushroom season
There are plenty of delicious foods to eat in France in October, including hedgehog mushrooms and girolles.
I’m also looking forward to cooking chestnuts and apple pies.
The tourists are gone
Nobody is looking for funky art installations, nobody is asking for directions, and the main attractions are pretty quiet.
This doesn’t mean the city is empty, it’s just, you know, full of French people living a normal French life. Bars and restaurants are busy and so are shopping malls but few people are exploring the castle or walking along the river.
Rediscovering your own country is pretty cool actually!
Tiens, lundi on a eu une petite tempête de neige sur Calgary et Red Deer. Ça a été un bazar abominable sur les routes. Et ce matin sur Edmonton, il y a -10°.
C’est l’automne, quoi.
J’ai froid rien que d’y penser.
Pour le moment, je trouve les températures très acceptables à Nantes. Le problème, c’est plus d’avoir froid dedans quand il commence à faire froid. Contrairement au Canada, il peut faire froid dans les supermarchés, les magasins… en tout cas c’était comme ça début avril, surtout avec la “sobriété énergétique subie”. Chez ma mère aussi, y’a pas le chauffage, quoi. Un petit chauffage d’appoint et c’est tout.
Le truc, c’est que quand je roule, la cabine chauffe très bien grâce à la chaleur du moteur, donc je suis toujours en T-shirt, même quand il fait -25° dehors. Et la nuit, le chauffage d’appoint permet de maintenir la température.
Là, je monte vers le nord, mais a priori, les températures vont rester stables, ente 0 et -15°, et sans trop de précipitation, donc ça devrait bien aller.
Effectivement, vu la puissance du moteur (j’imagine, compte tenu de l’engin), ça doit bien chauffer. Tu montes vers où?
Prudhoe Bay, Alaska. Juste au bord de l’océan Arctique.
C’est froid.
Mais, ça me fait rêver quand même.
Kika besoin de koi là-bas?
Ben en fait, c’est complètement nul comme coin, c’est juste une vaste zone industrielle centrée autour de l’exploitation pétrolière, on ne peut même pas accéder à l’océan simplement.
Sérieux, ’faut pas y aller, surtout que la route est pas terrible, avec essentiellement du trafic poids-lourd.
Si on veut aller aux extrêmes, Ushuaia est fort probablement plus intéressant. Au moins c’est un vrai village. Incidemment, une de mes sœurs ou un de mes frères (c’est con, je ne connais pas de mot pour ”sibling”) était aux cap des aiguilles cette semaine, l’extrême pointe sud de l’Afrique.
Pour le coup, j’ai été à Ushuaia 🙂 En fait, c’est pas si top que ça. La route est un peu intéressante, la géographie des lieux aussi, mais franchement, ça ressemble au Canada côté nature (avec en prime les ratons-laveurs qui dévastent tout). D’autres coins de Patagonie pas si reculés sont plus intéressants.
La galère de faire Ushuaia par la route, par contre… surtout il y a 15 ans. Ça nous a pris des plombes pour sortir de Patagonie.
C’est pour ça que je mentionne Ushuaïa, tu as déjà posté une photo de toi et Feng à la frontière pas loin. C’est la route qui est intéressante justement, même si pour le coup, j’ai un peu galéré en montant sur la glace et un peu aussi en descendant sur la glace aussi.
Mais la traversée est grandiose, et le fait de savoir qu’il n’y a que 2 points de ravitaillement sur les 660km de route, sans réseau téléphonique, est assez féerique par certains aspects.
Je comprends complètement ce côté féérique, c’est ça qui m’avait poussé à aller à Ushuaia… et dans le même genre, à Alice Springs. Juste l’idée d’être au milieu de nulle part.
Tu en es revenu? J’imagine que oui, tu as du réseau 😆
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