From the migrants who are hoping to get a roof over their heads before it gets cold to relatives worrying about soaring rental prices, everybody around me is obsessed with real estate.
Se loger (“to find a place to live”) is a real issue for many French people. In big cities, apartment buildings are old and landlords are notoriously picky—demand is greater than supply so you’d better make a lot of money and have a steady job as well as a good guarantor to be offered the chance to sign the lease. Forget about buying your own place unless you’re willing to live outside the city or work on a rundown property, which is probably why there are so many French comedies on renovation works.
As much as I hate these new, bland suburban residential developments in Canada, I must admit they get the job done—offering affordable housing to families.
Meanwhile, in Nantes, I tried to pay attention to unusual buildings and architectural details around me. From sinking apartment buildings Quai de la Fosse to modern towers in Beaulieu, from traditional cast-iron figurines (e.g. shepherd and shepherdess) used to keep exterior window shutters open to mascaron ornaments on façades to frighten away evil spirits, from new bridges to disused railway bridges, here are a few pictures taken in Nantes and around.





















Juliette, décidément, j’adore tes photos, elles me touchent à chaque fois, aussi bien les portraits de gens dans la rue, que les paysages, et même les immeubles et maisons. Tu as un oeil de photographe, c’est extra … As-tu jamais songé à en faire un métier ?
Bonjour du Sud
Cécile
Merci Cécile, c’est super gentil!
Je prends beaucoup de plaisir à photographier la vie, surtout les gens… je crois que j’aime les gens en général, aussi naïf que ça paraît être! Est-ce que j’aurais aimé en vivre… sûrement. Mais je suis réaliste, j’ai trop d’artistes-qui-meurent-de-faim autour de moi, c’est souvent un sacerdoce de vivre de l’art. Déjà que je n’arrive à rien avec mon pauvre manuscrit…!
Ah oui le fameux manuscrit … Il ne faut pas lâcher l’affaire, il faudrait l’envoyer à d’autres maisons d’édition anglophones (car je crois me rappeler que tu l’as écrit en anglais ?)
Pour les photos en tout cas, tu devrais essayer de faire une expo dans un centre culturel ou quelque chose comme ça, par exemple, une compilation de certains portraits réalisés en Amérique du Sud – il doit bien exister un centre culturel latinoaméricain à Ottawa ?? Sérieusement, je crois que ça aurait du succès.
Oui, effectivement, il est en anglais 🙂 Je recherche toujours, j’envoie toujours mes “query letters”. Après, je suis aussi consciente de l’ampleur de la tâche et du degré de chance qu’il faut avoir…
Merci en tout cas de tes compliments et de me donner des pistes éventuelles (et même un petit “self-esteem boost” :-))